Une enquête faite par Pfizer Animal Health indique que l'incidence de cette maladie est plus élevée qu'on ne croit : 16 % des chiens en sont victimes.

L'approche thérapeutique, pour le moment en Europe, fait appel aux sédatifs (44 %), à l'homéopathie (29 %) aux antinauséeux.

Pourtant le chien est incapable de s'adapter.
En effet le mal des transports résulte d'un conflit sensoriel dans l'interprétation d'informations fournies par l'appareil vestibulaire et le cortex visuel, un conflit dont les conséquences sont exacerbées par un état anxieux ou d'excitation (ce qui est souvent le cas lors des départs en vacances, par exemple).

L'efficacité du Maropitant est due à son mode d'action central et ce dans tous les contextes étiologiques.

L'action antivomitive, antiptyaliqe et sur le halètement dure environ 12 heures après la prise d'une dose de 8 mg/kg. Cette prise peut être renouvelée une fois et il n'existe pas d'effets secondaires de type somnolence.

Nouvelle stratégie contre le « mal des Transports », donc…
A.L.G.


avez vous le problème avec votre chien ? que faites vous pour atténuer son mal des transports ?